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 15 et 16 septembre 2018

 Programme en préparation

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 France   Hauts-de-Seine (92) 
Journées du Patrimoine
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Collection de Céramiques
Bourg-la-Reine (92)

Fiche en cours de mise à jour

Au programme pour les Journées du Patrimoine 2016

Visite libre

Ce qu'il faut savoir :

Retrouvez l'oeuvre céramique de François Laurin (1826-1901) ainsi que douze autres oeuvres de Pierre-Adrien Dalpayrat.
Faïencier né à Bourg-la-Reine le 28 août 1826 de Louis-François Laurin et de Louise-Sophie Mony, François Laurin est le petit-fils du céramiste François Guillaume Mony, successeur de Poussin dans sa faïencerie de La Madeleine, située coin de la rue de la Trémière (actuelle rue Jean-Roger-Thorelle) au niveau de notre 39, avenue du Général-Leclerc. C'est dans cet atelier appartenant à son grand-père qu'il relance avec Emile Lessore en 1856 les faïenceries artistiques, faisant de cette manufacture le rendez-vous des artistes en vogue.
Il y produit des faïences inspirées de modèles et de majoliques anciennes, des vases et des plats décorés sur cru au grand feu.
En 1871, aux côtés d'Ernest Chaplet qui l'a rejoint, ils mettent au point une nouvelle technique dite de la "barbotine" sur terre cuite qui permet de peindre sur la pâte crue comme sur une toile. Un procédé que la manufacture de Sèvres avait déjà développé pour décorer la porcelaine et qu'ils adaptent donc à la faïence. La barbotine, pâte fluide qu'ils utilisent pour le collage entre elles des parties d'une céramique avant cuisson (anses, becs...), leur permet des décors naturalistes très élaborés et en relief sur des céramiques d'inspiration impressionniste.
Laurin mettra cette invention en exergue dans de nombreuses expositions internationales et connaîtra un grand succès dans le dernier quart du XIXe siècle. En parallèle, il participe très activement à la vie de sa commune en qualité de Conseiller municipal puis de maire adjoint, de 1847 à 1896. De cette période, on lui doit en particulier les premières armoiries de la Ville.
Il décore également de nombreuses façades de maisons réginaburgiennes et dote l'église Saint-Gilles de l'une de ses oeuvres : un tableau, fait de carreaux de faïence, représentant la Vierge et l'enfant.
Il habite au 2, de la rue André-Theuriet, à l'angle de cette rue et de celle qui porte aujourd'hui son nom. Certaines pièces de cette maison sont encore décorées de corniches et de motifs en faïence d'origine.
Il décèdera le 19 mai 1901 à son domicile et sera inhumé dans le cimetière de Bourg-la-Reine où il repose toujours.


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Tarifs, conditions spéciales :

Gratuit

Collection de Céramiques
25 boulevard Carnot
92340 Bourg-la-Reine
Consulter le site Internet

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Informations détaillées extraites du Guide Tourisme France :

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