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Les dossiers de candidature pour l'obtention du label " Ville et pays d'art et d'histoire " présentés ces dernières années témoignent d'une évolution importante du concept même de patrimoine. Non seulement les candidatures sont nombreuses et de plus en plus diversifiées mais toutes ou presque revendiquent l'inscription de leur projet culturel dans un processus aliant " culture " et " développement durable ".
Dans un des exemples dont des extraits seront présentés à Tréguier, on peut lire en titre " Le projet urbain et les nouveaux enjeux du XXIème siècle " et en sous titre : " la diversité en héritage ". Dans un autre on peut lire : " ... Les élus et les responsables locaux ont conscience de l'importance de l'appropriation du patrimoine dans toutes les démarches de développement urbain permettant au passé, au présent et au futur de dialoguer...", ou bien : la candidature au label s'est faite " ... sur la reconnaissance d'une histoire et d'un destin communs et de la volonté de redonner des perspectives de développement à un territoire meurtri, tout en préservant une identité et un patrimoine forgé au fil du temps ... ".
Ces nouvelles orientations portées par les élus locaux répondent aux besoins exprimés par les habitants. On les retrouvent clairement formulées dans la " Convention (du Conseil de l'Europe) sur la valeur du patrimoine culturel pour la société ", dite " Convention de Faro " de 2005/2011\. Cette convention présente le patrimoine comme une ressource servant aussi bien au développement humain, à la valorisation des diversités culturelles et à la promoption du dialogue interculturel, qu'Ï un modèle de développement économique fondé sur les principes d'utilisation durable des ressources. Il est fondé sur l'idée que la connaissance et l'utilisation du patrimoine relèvent du droit du citoyen à participer à la vie culturelle.
Les dossiers de candidature pour l'obtention du label " Ville et pays d'art et d'histoire " présentés ces dernières années témoignent d'une évolution importante du concept même de patrimoine. Non seulement les candidatures sont nombreuses et de plus en plus diversifiées mais toutes ou presque revendiquent l'inscription de leur projet culturel dans un processus aliant " culture " et " développement durable ".
Dans un des exemples dont des extraits seront présentés à Tréguier, on peut lire en titre " Le projet urbain et les nouveaux enjeux du XXIème siècle " et en sous titre : " la diversité en héritage ". Dans un autre on peut lire : " ... Les élus et les responsables locaux ont conscience de l'importance de l'appropriation du patrimoine dans toutes les démarches de développement urbain permettant au passé, au présent et au futur de dialoguer...", ou bien : la candidature au label s'est faite " ... sur la reconnaissance d'une histoire et d'un destin communs et de la volonté de redonner des perspectives de développement à un territoire meurtri, tout en préservant une identité et un patrimoine forgé au fil du temps ... ".
Ces nouvelles orientations portées par les élus locaux répondent aux besoins exprimés par les habitants. On les retrouvent clairement formulées dans la " Convention (du Conseil de l'Europe) sur la valeur du patrimoine culturel pour la société ", dite " Convention de Faro " de 2005/2011\. Cette convention présente le patrimoine comme une ressource servant aussi bien au développement humain, à la valorisation des diversités culturelles et à la promoption du dialogue interculturel, qu'à un modèle de développement économique fondé sur les principes d'utilisation durable des ressources. Il est fondé sur l'idée que la connaissance et l'utilisation du patrimoine relèvent du droit du citoyen à participer à la vie culturelle.
Gratuit
Informations détaillées extraites du Guide Tourisme France :
- consultez aussi la fiche du département des Côtes-d'Armor
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