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Découvrez l’histoire d’un ancien couvent, fondé en 1628 par des carmélites venues de Nancy. Partiellement détruit à la Révolution, puis reconverti en prison et en habitations, le site conserve encore les traces de son passé
Public concerné : Tout public
Malgré les réticences de la ville, des carmélites venues de Nancy s’installent à Saint-Mihiel en 1628, grâce à l’appui du pouvoir ducal.
De 1628 à 1630, elles louent la maison " au Singe ", située dans le quartier de la Halle, avant d’acheter, en 1630, une demeure à l’angle de la future rue Raymond Poincaré et de la rue de la Tête d’Or.
Éloignées de Saint-Mihiel entre 1636 et 1639 en raison de la guerre de Trente Ans, elles regagnent leur maison en 1639 et bénéficient alors du soutien des bénédictins. Les bâtiments sont reconstruits entre 1721 et 1724, notamment par Claude Poirot, maître charpentier à Issoncourt, d’après les plans de l’architecte nancéien Sébastien Mangeot (probablement l’architecte du duc Léopold), assisté d'autres artisans restés anonymes.
Les bâtiments conventuels sont vendus comme biens nationaux en 1792, puis transformés en prison. L’église est détruite. Au cours du XIXe siècle, les lieux sont progressivement reconstruits et reconvertis en maisons d’habitation
samedi 20 septembre 2025 - 10:00 - 12:00, 14:00 - 19:00 , dimanche 21 septembre 2025 - 10:00 - 12:00, 14:00 - 19:00
Gratuit
Informations détaillées extraites du Guide Tourisme France :
- consultez aussi la fiche du département de la Meuse
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