[2018] programme en préparation pour ce département : Côtes-d'Armor (22)
Le manoir du XV e siècle relevait, sous l'Ancien Régime, du domaine royal de Lannion en Penvénan et de la seigneurie de Plouguiel -Plougrescant en Plougrescant. Il a appartenu, selon Henri Frotier de la Messelière, aux familles Kernec'hriou (XVI e -XVII e siècles), Rosmar, (XVII e siècle) et Keret (XVII e et XVIII e siècles) puis est vendu en 1728 à Dame Joséphine de Keroulan Dame de Coëtivy. Il est un des rares manoirs édifiés en bord de mer. De plan rectangulaire, simple en profondeur et à double orientation, il est construit en moellons de granite et présente, à gauche, des traces de reprise de la maçonnerie résultant d'une phase d'agrandissement. Enfermant trois pièces au rez-de-chaussée, il comprenait à l'origine deux pièces d'inégale importance, soit une cuisine à droite et une salle basse à gauche recevant normalement l'entrée. La particularité de ce logis, couvert d'un toit à longs pans, est d'abriter au dessus de la salle basse une ancienne salle haute sous charpente. La façade antérieure est ouverte de croisées et de fenêtres rectangulaires verticales à traverse.
Le manoir du XV e siècle relevait, sous l'Ancien Régime, du domaine royal de Lannion en Penvénan et de la seigneurie de Plouguiel -Plougrescant en Plougrescant. Il a appartenu, selon Henri Frotier de la Messelière, aux familles Kernec'hriou (XVI e -XVII e siècles), Rosmar, (XVII e siècle) et Keret (XVII e et XVIII e siècles) puis est vendu en 1728 à Dame Joséphine de Keroulan Dame de Coëtivy. Il est un des rares manoirs édifiés en bord de mer. De plan rectangulaire, simple en profondeur et à double orientation, il est construit en moellons de granite et présente, à gauche, des traces de reprise de la maçonnerie résultant d'une phase d'agrandissement. Enfermant trois pièces au rez-de-chaussée, il comprenait à l'origine deux pièces d'inégale importance, soit une cuisine à droite et une salle basse à gauche recevant normalement l'entrée. La particularité de ce logis, couvert d'un toit à longs pans, est d'abriter au dessus de la salle basse une ancienne salle haute sous charpente. La façade antérieure est ouverte de croisées et de fenêtres rectangulaires verticales à traverse.
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