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 France   Var (83) 
Journées du Patrimoine

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Salin des Pesquiers
Hyères (83)

Journées du Patrimoine 2025 à Hyères

Expositions au Salin des Pesquiers

Au Magasin

- Christophe Maout : Le ciel de Paris

Le Ciel de Paris Au printemps 2020, alors que nous partagions le confinement et sa solitude, la fenêtre vers le monde extérieur était, littéralement, celle de nos maisons et appartements. C’est donc à distance qu’un peu de l’expérience du monde était encore possible. À Paris, le photographe Christophe Maout, du haut de son septième et dernier étage, équipé de jumelles, observe les oiseaux parcourant l’espace désormais vidé de nos allers et venues. Il plaque l’appareil photo sur l’oeilleton des jumelles et tantôt les photographie en nuées, au lointain, tantôt les saisit au vol dans une proximité inattendue. La lumière change, le ciel se charge ou se dégage, le cadre se resserre sur les toits ou s’élargit et s’élève pour ne retenir que les cieux, les espèces d’oiseaux, elles aussi, varient. L’objectif se laisse planer, capturant ici et là ces accents noirs, comme des touches laissées par de fins pinceaux sur fonds de cheminées ou de ciel nuageux. Depuis son poste d’observation, au coeur de l’urbanité, le photographe dépeint une infinité de paysages et portraiture en creux un Paris hors du temps. Le vol ininterrompu des oiseaux est bercé par une bande sonore hypnotique aux lointaines résonances urbaines. Le cerclage noir sur le pourtour de la photographie, conséquence de la technique utilisée, place à son tour le spectateur dans la concentration de l’acte d’observation. Dans ce monde qui se déroule derrière l’oeilleton, libre et libérée des interactions humaines, la silhouette du corvidé parcourt le ciel. Dans son sillage, une question se lit en filigrane : qui est le nuisible ? Raphaëlle Stopin, commissaire d’exposition

- Catherine Blancard : Terraliben

Au travers d’un inventaire poétique, je vous invite à une rencontre, un face à face avec le vivant. Autour de ces éléments " Matrices " que sont le végétal, l’animal et le minéral, j’interroge notre manière d’habiter le monde, de laisser de la place aux autres vivants qui permettent la vie sur Terre. Ces dessins grandeur nature sont nés de lectures, questionnements, réflexions et pensées sur ces grands bouleversements que nous vivons, Je les partage avec vous.

- Christophe Blancard : Stobal

Dans un monde où le béton grignote les forêts et où le silence remplace peu à peu le chant des oiseaux, mes sculptures en métal prennent forme comme des cris d’alerte, mais aussi des gestes d’espoir.
Le métal, matériau industriel, souvent associé à la dureté et à la destruction, devient ici un hommage vibrant à la vie ailée, il se plie, se tord, s’élève, pour esquisser les silhouettes des oiseaux que nous devons protéger. Chaque pièce est un paradoxe : la froideur du métal au service de la chaleur du vivant. Les ailes figées dans l’acier rappellent les migrations interrompues, les habitats menacés, mais aussi la beauté persistante de la nature quand on choisit de la préserver. Cette exposition est un appel à lever les yeux, à écouter à nouveau, à respecter les rythmes silencieux du ciel et des arbres. C’est un dialogue entre l’art et l’environnement, entre la matière brute et la grâce fragile. Les oiseaux sont des indicateurs précieux de l’état de notre environnement. Leur disparition silencieuse nous alerte : habitats menacés, pollution, dérèglement climatique… autant de pressions qui pèsent sur le vivant. Mais leur présence persistante, parfois même leur retour, est aussi le signe que la nature peut se régénérer, si nous la respectons.
À travers ces sculptures , et installations, ce parcours vous invite à écouter, observer, comprendre — et surtout protéger.
Accès libre et gratuit : 9h-12h / 14h-17h30
Au Hangar de la Mouture

- Le Port des Créateurs - Les ailes du désir

Au cœur des Salins d’Hyères, là où l’eau, le sel et le ciel se confondent, une quinzaine d’artistes explorent un vertige : celui du moment suspendu où l’on quitte le sol. Les ailes du désir interroge ce geste ancestral et fragile, ce rêve insistant de l’humanité de s’arracher à la pesanteur, d’imiter l’oiseau dans son envol, avec pour figure tutélaire le flamant rose, icône aérienne de ce paysage hybride, façonné par l’homme mais redevenu sanctuaire. À travers installations, peintures, sculptures ou dispositifs in situ, les œuvres convoquent Icare et ses ailes brûlées, les oiseaux de bonne ou de mauvais augure, les amours suspendus, le souffle poétique du film de Wim Wenders où anges et humains se frôlent sans jamais se confondre. Elles évoquent autant l’élan amoureux que le désir métaphysique d’élévation, dans cette tension constante entre gravité et grâce, entre chute possible et aspiration à s’élever. Ici, l’incertitude devient matière, et l’envol − réel, symbolique, intérieur − devient un acte à la fois fragile et sublime, toujours en quête d’équilibre entre liberté et limite.
Accès libre et gratuit : 9h-12h / 14h-17h30
Sur la Voie Douce de découverte

- Axel Champloy et Gregori Célestin : Regards croisés

Des aquarelles d’Axel Champloy reprenant de scènes de vie du passé salinier des Pesquiers reprennent vie dans le paysage hyérois grâce à l’œil du photographe Gregory Celestin.
Accès libre et gratuit : 8h - 17h30
Sur la piste vers le Tympan

- River Dillon : Birdmen (Les hommes-oiseaux)

La série des Hommes et Femmes-oiseaux est une suite de montages photographiques de superpositions entre des images de plumes et des photographies de modèles humains. Le premier groupe de Birdmen est obtenu en superposant les êtres humains à des oiseaux empaillés, perroquets, geais bleus, oiseaux de paradis, chouette,… Le second groupe utilise des diadèmes ou des masques en plumes fabriqués par les indigènes Sud-Américains, Munduruku, Kayapo, Mojo, Bororo,.. Le troisième groupe superpose les humains à des tissus retissés de plumes de peuples d’Amérique du Sud, Wayana d’Amazonie ou Nazca du Pérou. Comme par un trucage cinématographique, la peau du visage se transforme en plumes et l’espèce humaine devient une créature de rêve, mi-humaine/mi-animale, mi-ange/mi-bête.
Accès libre et gratuit : 9h-12h / 14h-17h30
Public concerné : Tout public

Au programme pour ce lieu :

Le Salin des Pesquiers est un site naturel exceptionnel qui est propriété du Conservatoire du Littoral et géré par la métropole TPM. Si l'exploitation salinière a cessé en 1995, le Salin conserve son bâti caractéristique qui permet d'accueillir des expositions scientifiques et artistiques et ses plans d'eau refuges d'une extraordinaire biodiversité


Accès :

Accès libre te gratuit via la Voie Douce de Découverte

Journées du Patrimoine 2025 - horaires :

samedi 20 septembre 2025 - 10:00 - 17:30 , dimanche 21 septembre 2025 - 10:00 - 17:30

Tarifs, conditions spéciales :

Gratuit

Plusieurs propositions pour ce lieu :

Salin des Pesquiers
1746 route de Giens
83400 Hyères

Guide Tourisme France

Informations détaillées extraites du Guide Tourisme France :

- consultez aussi la fiche du département du Var

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